Alimentation ou la troisième médecine
???????Puisse cette nouvelle édition persuader les lecteurs que l’alimentation d’hier doit prendre une grande place dans la médecine de demain, aussi bien dans la prévention que dans le traitement de la plupart des maladies.
Auteur(s): Jean Seignalet |
Éditeur: du Rocher |
Format: Livre broché |
Pages: 770 |
Code-barres:
9782268074009
Notre façon de manger influence notre santé, dans un bon ou dans un mauvais sens.
Si chacun est d’accord sur ce point, deux questions restent posées :
Il montre comment l’alimentation moderne exerce ses effets néfastes, en conjonction avec d’autres facteurs génétiques et environnementaux. Les multiples étapes qui mènent de l’état normal à l’état pathologique apparaissent clairement.
Au départ de troubles aussi variés que la polyarthrite rhumatoïde, le diabète sucré de la maturité, le cancer du sein ou l’asthme, on trouve la nourriture moderne, responsable du passage dans la circulation sanguine de macromolécules bactériennes et alimentaires nocives.
Le retour à une nutrition de type ancestral, la seule qui convient à l’homme, permet d’obtenir des succès aussi nets que fréquents dans une multitude d’affections qui passent pour mystérieuses et peu ou pas curables.
La notion classique d’une diététique quantitative, basée sur le nombre de calories et l’équilibre entre glucides, lipides et protides, est remplacée par un nouveau concept, celui d’une diététique qualitative, fondée sur la structure des molécules.
Puisse cette nouvelle édition persuader les lecteurs que l’alimentation d’hier doit prendre une grande place dans la médecine de demain, aussi bien dans la prévention que dans le traitement de la plupart des maladies.
Si chacun est d’accord sur ce point, deux questions restent posées :
- De quelle manière une alimentation mal conçue conduit-elle à certaines maladies ?
- Quelle est la diététique idéale ?
Il montre comment l’alimentation moderne exerce ses effets néfastes, en conjonction avec d’autres facteurs génétiques et environnementaux. Les multiples étapes qui mènent de l’état normal à l’état pathologique apparaissent clairement.
Au départ de troubles aussi variés que la polyarthrite rhumatoïde, le diabète sucré de la maturité, le cancer du sein ou l’asthme, on trouve la nourriture moderne, responsable du passage dans la circulation sanguine de macromolécules bactériennes et alimentaires nocives.
Le retour à une nutrition de type ancestral, la seule qui convient à l’homme, permet d’obtenir des succès aussi nets que fréquents dans une multitude d’affections qui passent pour mystérieuses et peu ou pas curables.
La notion classique d’une diététique quantitative, basée sur le nombre de calories et l’équilibre entre glucides, lipides et protides, est remplacée par un nouveau concept, celui d’une diététique qualitative, fondée sur la structure des molécules.
Puisse cette nouvelle édition persuader les lecteurs que l’alimentation d’hier doit prendre une grande place dans la médecine de demain, aussi bien dans la prévention que dans le traitement de la plupart des maladies.